mardi 18 mai 2010

Sondage sur l'organisation du pont de l'Ascension 2011

Bonjour,

Afin de nous organiser au mieux, et de nous donner un peu plus de poids, nous nous proposons de recueillir votre point de vue sur la mise en place ou non du pont de l'Ascension en 2011, avec quelle contre-partie pour récupérer le vendredi correspondant.
Emmanuel




Sondage auprès des parents d’élèves
ENTRE LE 10 MAI ET 15 MAI 2010




Pont de l’Ascension 2011

L’Inspection académique sollicite les associations de parents d’élèves à propos du Pont de l’Ascension de l’année scolaire 2010-2011. Le jeudi 2 juin 2011 étant le jeudi de l’Ascension, la question est de savoir si le vendredi 3 juin 2011 doit être travaillé ou libéré moyennant un rattrapage. Quelques propositions de rattrapage nous ont été soumises. Chacune a des conséquences pour le rythme de travail des enfants et l’organisation des parents, qu’il convient d’envisager avant de répondre.

Etes-vous favorable à la libération du vendredi 3 juin 2011 ?
       Oui (= Pont)
       Non (= pas de Pont)

Si oui, nous vous proposons une date de rattrapage qui aurait peu de conséquences sur les activités de vos enfants :  le dernier mercredi des vacances de la Toussaint, le 3 novembre 2010.
       Oui
       Non

2 autres dates possibles :
       le mercredi 1er juin (une semaine de 3 jours d’école)
       le mercredi 15 juin (une semaine de 4 jours d’école), 
ce qui supprimerait donc les activités des enfants ces mercredis.

Merci de votre participation !
Les bulletins sont à déposer dans la boîtes aux de l’une des associations avant le 15 mai 2010.


mardi 9 mars 2010

La réforme de la formation des enseignants tend le climat dans l'éducation nationale

Ci-dessous, un article paru dans le journal Le Monde, qui laisse froid dans le dos...
Les nouvelles bases de la formation des jeunes enseignants (pour faire large et simple) semblent présenter quelques lacunes nquétantes pour le moins... Bonne lecture!!

"LE MONDE | 08.03.10 | 13h24 • Mis à jour le 08.03.10 | 14h30

En septembre, comme à chaque rentrée, le ministère devra placer devant des élèves des enseignants débutants. La différence, c'est que cette fois, une partie d'entre eux auront un handicap supplémentaire : ils seront encore plus débutants que leurs prédécesseurs et n'auront même pour certains jamais vu une classe. Ce sera l'un des effets de l'entrée en application de la réforme de la formation des enseignants, engagée en 2008 par Xavier Darcos, alors ministre de l'éducation, et dont son successeur Luc Chatel a hérité.

Pour le ministère, tout va bien. En organisant le "compagnonnage", c'est-à-dire l'accompagnement des profs débutants par des enseignants expérimentés, cette réforme va introduire du concret et du bon sens à la place des théories pédagogiques issues de 1968. Pour tous les autres dans l'éducation nationale, y compris les adversaires de ces théories, tout va mal. Ils regrettent qu'on prenne le risque de mettre des jeunes non formés face à des élèves qui vont servir de cobayes.

A part quelques officiels, personne ne semble croire vraiment en la viabilité de cette réforme. Dernière déclaration dans un océan de commentaires négatifs : le secrétaire général du principal syndicat des chefs d'établissement, Philippe Tournier, a prédit, le 5 mars, que "la formation des enseignants reviendra sur le tapis dans les années à venir".

En attendant, l'heure est aux protestations. Elles peinent à s'organiser, car l'épreuve des faits est encore lointaine et la réforme si complexe que seuls les négociateurs spécialisés parviennent à en appréhender toutes les conséquences.

Son principe-clé est que le compagnonnage se substitue à l'actuelle année de formation en alternance, composée de 40 % de pratique devant les élèves et de 60 % de cours dans les instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM).

A partir de septembre, les reçus aux concours de recrutement d'enseignants seront directement affectés à un poste. L'opération permet de réaliser d'un seul coup les 16 000 suppressions de postes prévues au budget 2010 : l'année en alternance, supprimée, s'effectue en effet sous le statut de fonctionnaire stagiaire.

A ceux qui dénoncent le manque de préparation des futurs débutants, le gouvernement répond qu'ils seront au contraire mieux formés, car désormais recrutés au niveau master (bac + 5), alors que le minimum requis pour s'inscrire aux concours était précédemment la licence (bac + 3). D'où le nom de "mastérisation" donné à cette réforme.

En outre, pour tempérer les critiques, le gouvernement avait promis au printemps 2009 qu'un tiers du temps de service des futurs débutants resterait consacré à un "complément de formation". Cette promesse a accentué la complexité du dossier : si les débutants nommés sur un poste doivent partir en formation, alors, il faut les remplacer. Or, le remplacement est un légendaire point faible de l'éducation nationale...

La réforme a par ailleurs prévu qu'avant de passer leur concours, les étudiants se destinant à l'enseignement effectueront des stages dans les classes durant leurs deux années de master.

D'où une perspective que le gouvernement cherche aujourd'hui à écarter mais que les familiers de ce dossier jugent inévitable : des débutants tout juste lauréats des concours, directement nommés sur un poste à plein-temps, partant néanmoins en formation pour certaines périodes, risquent alors d'être remplacés par de jeunes étudiants... Un cauchemar de chef d'établissement, accessoirement d'élève ou de parent.

L'envoi, le 25 février, aux recteurs et inspecteurs d'académie d'une circulaire sur l'organisation de la première année scolaire des lauréats des concours n'a pas éteint les inquiétudes à ce sujet.

En précisant que toutes les formes d'accompagnement seront "décomptées" du tiers-temps de formation complémentaire, le texte réduit celle-ci à la portion congrue et restreint sans le supprimer le problème du remplacement. Celui-ci resurgit partiellement avec l'annonce que les futurs professeurs des écoles seront "accompagnés" par des collègues expérimentés jusqu'à la Toussaint.

Encore une fois, un problème chasse l'autre. Le texte, en laissant une large autonomie aux rectorats, les invite à inventer les solutions qui se dérobent à l'échelle nationale.


Luc Cédelle

Article paru dans l'édition du 09.03.10

Au sujet du pont de l'Ascension...

lundi 25 janvier 2010

Compte-rendu du premier conseil d'école (10 nov. 2009)


École élémentaire Clemenceau A 59 av G. Clemenceau 94170 Le Perreux
Tel : 01 41 93 66 60 Fax : 01 41 93 66 66 Courriel : clemenceau.a.perreux@free.fr
PROCES VERBAL DU CONSEIL D'ECOLE DU 10 NOVEMBRE 2009
Présents:
· Education nationale: Mmes Danet, Maurice, Baudoin, Pédurthe, Levionnois, Tamimi, Jean-François,Verger, Baron, Egger, Pezet, Larouzée, Le Tosser et M Collot, Veggian. Excusée: Mme Podevyn
· Municipalité: Mme Rouselin
· Parents d'élèves: FCPE / M Poli, Lefevre, Chareix, Jlibane
PEEP / Mmes Péchenart, Roux-Levieux, Chabert, Lettoli, Samson, Delafosse, Dubois-Wernerheim et M. Thirion.

mardi 1 décembre 2009

Pourquoi l'avenue Clemenceau n'est-elle pas fermée à 18h00 ?

Vous l'avez sans doute remarqué, l'avenue Clemenceau est fermée à la circulation le matin, le midi, à 13h20, à 16h30 mais pas à 18h pour la sortie d'études. Curieusement, il y a beaucoup plus de monde à 18h que le midi.


Les parents qui attendent en grand nombre débordent sur la chaussée. Comme la voie n'est pas fermée, les parents en voiture se garent n'importe où, obligeant encore plus les piétons à déborder sur la chaussée. C'est dangereux.

En outre, en cette saison à 18h, il fait nuit noire. Tout ça donne une belle pagaille, stressante quand les enfants sortent tous ensemble.

Depuis quelques années, nous demandons à la mairie de fermer l'avenue à la circulation, ne serait-ce que 15 mn, de 17h55 à 18h10.

Et depuis, soit nous n'avons pas de réponse, soit la marie nous répond que c'est impossible sans pour autant donner de raisons... valables.


Impossible ? Et oui. Suivant les années, la cause de l'impossibilité change :

- "Il y a très peu de monde le soir à 18h00". Je pense que la personne qui affirme ça a dû le vérifier un samedi ou un dimanche. Parce que les jours d’école, le nombre de personnes ( parents et enfants) dépasse largement la capacité des trottoirs.

- "Trop de circulation le soir pour fermer l'avenue". Si on devait suivre ce raisonnement, on ne fermerait pas plus le matin où la circulation semble aussi dense que le soir. Et puis la circulation doit-elle être le seul élément de décision ?

- "Les riverains se plaignent des trop nombreuses fermetures de l'avenue". Pour 1/4 d'heure, tout de même...

La réponse de la mairie ne portera jamais sur la fin de service de sa Police Municipale à 17h30, qui est la vraie raison de ne pas fermer l'avenue à 18h, puisqu’il n’y a plus personne...

Donc, parents qui attendez la sortie d’études le soir, sachez que vous n’êtes pas si nombreux que cela, et que la fluidité de la circulation automobile prime sur votre sécurité et sur celle de nos enfants.

Et surtout prudence (bien que vous ne soyez pas nombreux ;=).


Cyril L.